Ce fut vraiment un grand moment : les chants, dont l’incontournable Bella Ciao, les applaudissements, les grandes déclarations la main sur le cœur, les promesses sur l’unité nécessaire pour renvoyer l’extrême droite à ses fourneaux et les leaders se tenant tous par la main pour former une chaîne en signe de solidarité. Et tout ça, à la fête nationale de l’Association nationale des partisans italiens (Anpi), à Bologne, qui s’est achevée le 1er juillet.