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DIRECT. Législatives : Fabien Roussel espère qu’Huguette Bello à Matignon « puisse être une solution » pour éviter le blocage

Source link : https://front-populaire.biz/2024/07/12/direct-legislatives-fabien-roussel-espere-quhuguette-bello-a-matignon-puisse-etre-une-solution-pour-eviter-le-blocage/

16:26

Le président du conseil régional de Haute-Savoie porte plainte pour menaces de mort

Le président LR du conseil régional de Haute-Savoie, Martial Saddier, a déposé plainte vendredi au commissariat d’Annecy pour des menaces de mort qui seraient intervenues en réaction à son soutien au candidat LR/RN durant l’entre-deux tours.

Une représentante du conseil régional a indiqué à l’AFP que la plainte concerne des commentaires formulés sur le réseau social Facebook et masqués depuis.

Dans une publication sur Facebook datée du 5 juillet, Martial Saddier annonçait, « à titre personnel et je ne parlerai que de ma circonscription où j’ai eu l’honneur d’être député, je soutiens M. Antoine Valentin », candidat investi par Eric Ciotti qui revendiquait le soutien des partis d’extrême droite RN et Reconquête, face à la candidate divers droite Christelle Petex, qui a été élue au second tour. 

16:17

Qui veut censurer qui ?

Le centre, la droite et l’extrême droite ont multiplié ces derniers jours les promesses de motion de censure à l’égard d’un potentiel gouvernement de gauche.

Un peu tôt, alors que sa désignation n’aura peut-être pas lieu avant la rentrée, en raison des Jeux olympiques ? Concrètement, le dépôt d’une motion de censure pour faire tomber le gouvernement nécessite la signature de seulement un dixième des membres de l’Assemblée nationale (58 députés). Mais son adoption nécessite un soutien beaucoup plus massif : la majorité absolue de l’Assemblée nationale, soit 289 sièges ou plus. Alors, qui veut censurer qui, et qui peut espérer réellement faire tomber ses adversaires ?

16:01

« J’espère que ça puisse être une solution »

« Il y a depuis quelques heures une situation de blocage. Nous n’arrivons pas à trouver une entente entre les propositions issues de LFI ou du Parti socialiste », expose Fabien Roussel, interrogé devant le siège du Parti communiste à Paris, plaidant pour « trouver une autre voie ». 

Il confirme avoir proposé la candidature d’Huguette Bello, présidente du conseil régional de La Réunion. Le leader des communistes défend une femme politique qui connait le parlement, qui est « respectée » et qui est à la tête d’une région « qui connaît des difficultés ». 

« J’espère que ça puisse être une solution pour nous, pour la France, pour la République », assure-t-il. 

« Il nous faut sortir par le haut maintenant. Chacun est face à ses responsabilités. Ni le Parti socialiste, ni La France insoumise ne peuvent dire C’est nous ou rien », lance Fabien Roussel. 

15:47

Emmanuel Macron recadre ses troupes

Le chef de l’État a convoqué les cadres de la majorité à l’Élysée ce vendredi. L’occasion d’un rappel à l’ordre, en présence notamment de Gabriel Attal, Gérald Darmanin ou Élisabeth Borne. « L’image que nous avons donnée ces derniers jours est désastreuse », a regretté le président. Découvrez dans notre article les coulisses de ce rassemblement à l’ambiance « pesante ». 

15:04

« Sans union de la gauche, pas de victoire possible », insiste Clémentine Autain

Le nouveau mouvement « L’Après », lancé par des « frondeurs » de LFI, n’est qu’une « première étape » en vue de la « construction d’une force politique qui cimentera durablement le Nouveau Front populaire », assure la députée de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain sur son compte X. 

« Sans union de la gauche, pas de victoire possible dans le pays », martèle l’élue, joignant un extrait de la conférence de presse de l’association dans laquelle elle explique que cette équipe d’« insurgés » a « décidé de contribuer de toutes nos forces à ce que le rassemblement des gauches et des écologistes puisse grandir et gagner dans le pays ». « Nous ne pouvons pas gagner si l’éclatement revient », insiste-t-elle.

14:41

Après plusieurs jours de négociations, quels sont les noms évoqués à gauche pour Matignon ?

Cinq jours après le second tour, la gauche poursuit toujours ses négociations pour désigner un Premier ministre commun. On fait le point sur les options avancées par les différents partis du Nouveau Front populaire :

Les Insoumis proposent quatre noms : leur coordinateur Manuel Bompard, la coprésidente de l’Institut La Boétie et députée du Val-de-Marne Clémence Guetté, la présidente du groupe à l’Assemblée nationale Mathilde Panot, et le fondateur du mouvement, Jean-Luc Mélenchon, profil très clivant au sein de l’allianceLes socialistes défendent la candidature de leur premier secrétaire Olivier FaureLe PCF a proposé le nom de Huguette Bello, présidente de La Réunion proche de LFI, selon une source parlementaire à l’AFP

14:34

« C’est un état des choses qu’il faut changer », plaide Huguette Bello dans une vidéo

Alors que le nom d’Huguette Bello semble avoir été proposé au cours des tractations de la gauche pour trouver un Premier ministre, la présidente PCF du conseil régional de La Réunion publie justement une vidéo d’une conférence de presse aux côtés de son équipe, se félicitant d’une « victoire du Nouveau Front populaire » sur l’île.

« Cette victoire valide la stratégie d’union pour laquelle nous avions plaidé dès le premier tour. (…) C’est un état des choses qu’il faut changer, peut-être qu’il faut commencer à marcher sur la route de la VIe République », déclare-t-elle. 

14:02

Des syndicats étudiants appellent à se rassembler dimanche « pour un gouvernement du Nouveau Front populaire »

Les syndicats l’Union Etudiante et l’Union syndicale lycéenne appellent à se rassembler dimanche 14 juillet à Paris, place de la Bastille à 19 heures, « et devant les préfectures et mairies dans le reste de la France » pour manifester « contre le coup de force présidentiel ». « Nous exigeons qu’Emmanuel Macron respecte les résultats de l’élection dont il a imposé la tenue. De ce fait il doit nommer un.e premièr.e ministre du Nouveau Front populaire », écrivent les organisations sur le tract partagé sur X. Elles appellent « l’ensemble des forces politiques, syndicales et associations, ainsi que les citoyen.nes ayant oeuvré à la victoire de la gauche, à se mobiliser dans ce sens ». 

13:53

Pourquoi François Ruffin ne fait pas partie du mouvement « L’Après » ?

Le député réélu de la Somme, lui aussi « frondeur » de la France insoumise, n’a pas souhaité rejoindre l’association pour le moment. Il ne s’est pas encore exprimé à ce sujet. Dans un entretien au Monde publié mercredi, François Ruffin a expliqué qu’il « souhaite un groupe trait d’union ; un groupe qui rassemble les communistes, les écologistes, les élus du parti Génération·s et nous ». L’un de ses proches qui préside son mouvement de soutien, Guillaume Ancelet, fait néanmoins partie du bureau de « L’Après ».

13:38

Agression de l’équipe de campagne de Prisca Thevenot : trois personnes mises en examen

Trois mineurs ont été mis en examen jeudi dans l’affaire de l’agression contre Prisca Thevenot et son équipe de campagne, a indiqué au Parisien le parquet de Nanterre. Comme nous le révélions mercredi, quatre personnes avaient été interpellées à leur domicile dans le cadre de l’information judiciaire ouverte le 5 juillet dernier pour violences aggravées et violences sur un élu public. Le 3 juillet dernier, la porte-parole du gouvernement et son équipe de campagne ont été agressées lors d’une opération de collage d’affiches à Meudon-la-Forêt (Hauts-de-Seine).

13:13

L’élection d’Attal à la tête du groupe Renaissance ne règle pas « le fonctionnement du parti » selon Darmanin

Le ministre de l’Intérieur, réélu député dans le Nord, a estimé dans un message aux députés Renaissance que l’élection de Gabriel Attal, seul candidat à la tête du groupe présidentiel, « ne règle en aucun cas les deux problèmes majeurs qui sont les nôtres : notre ligne politique, notre projet pour les Français et l’examen critique de notre action, de notre méthode et de notre bilan », et « le fonctionnement du parti et la nécessaire représentation des territoires et des sensibilités ». Les leaders de Renaissance se sont réunis ce matin à l’Élysée autour d’Emmanuel Macron.

13:01

Un nouveau nom pour débloquer les discussions du NFP pour proposer un Premier ministre ? 

Selon l’Humanité, le nom d’une autre personnalité a été avancé pour débloquer les discussions. Il s’agit d’Huguette Bello, membre du Parti communiste français (PCF) et présidente du conseil régional de La Réunion. Elle était également candidate sur la liste LFI aux européennes, à la 81eme place. Auprès de BFMTV, le député insoumis Antoine Léaument a affirmé que c’est « un très bon nom » pour Matignon. 

LP / Olivier Corsan

12:36

Les tacles continuent à gauche

En réaction à la pique lancée par Adrien Quatennens sur le nouveau mouvement L’Après, officiellement lancé ce vendredi par les « frondeurs » insoumis, l’ex-LFI Raquel Garrido assure que l’Association pour la République écologique et sociale sera « loin des pratiques toxiques et des abus de pouvoirs ». Une référence à peine déguisée à son ancien parti, suivie par une critique encore plus directe : « Vous n’y croiserez pas Adrien Quatennens ».

« On va se faire un devoir d’archiver ce message. Nul doute que tu connaisses les moindres recoins de la vie privée de tes petits potes. J’ignorais que vous étiez la pureté et la perfection incarnées. Des gens qui ne faillissent jamais et reconnaissent toujours leurs torts ! », a renchéri l’ex-député du Nord en réponse au message.

12:12

Attal seul en lice pour la présidence du groupe Renaissance

Gabriel Attal est bien le seul en lice, à la clôture des candidatures, pour prendre la présidence du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale, comme l’avait laissé entendre le député Sylvain Maillard dans la matinée. 

12:11

Corbière plaide pour voter pour choisir un Premier ministre du NFP

« Pourquoi ne pas réunir tous les députés du Nouveau Front populaire pour qu’ils décident, par des votes, qui peuvent être le Premier ministre et l’équipe gouvernementale ? », propose Alexis Corbière sur LCI. « Ça permettrait d’avoir un nom qui rassemble majoritairement parmi les députés », justifie-t-il. 

11:48

« L’Après » répond aux accusations de Quatennens

« La nécessité de lancer un outil politique unitaire est née pendant les élections européennes lorsque la gauche était non seulement divisée mais développait en son sein des anathèmes agressives », répond le mouvement fondé par les dissidents insoumis à Adrien Quatennes, qu’il accuse de manigances. « Ce n’est pas surprenant. C’est même 100% raccord avec notre rôle de trait d’union », peut-on lire sur X.

11:32

« L’Après c’était déjà avant » pointe Adrien Quatennens

L’insoumis Adrien Quatennens, qui a retiré sa candidature à sa réélection de député dans le Nord, a réagi sur X à la création de « L’Après » par les « purgés » de LFI. « L’Après c’était déjà avant », a-t-il pointé, ajoutant une photo montrant que la date de création de l’association précède les élections européennes et donc de la dissolution de l’Assemblée nationale.

11:16

« L’Après » souhaite être « une nouvelle force politique au service du NFP », explique Danielle Simonnet

Au micro de BFMTV, la députée de Paris Danielle Simonnet, issue des rangs de LFI mais qui ne siégera pas avec le groupe Insoumis à l’Assemblée nationale, a présenté le nouveau mouvement « L’Après », formé avec d’autres « frondeurs ». C’est « un outil qui se veut démocratique, qui reprend le programme social de l’avenir en commun (le programme de LFI, ndlr.) mais qui souhaite être une force politique nouvelle au service du Nouveau Front populaire », a-t-elle expliqué. Pour autant, le mouvement n’a pas assez de membres pour constituer un nouveau groupe politique à l’Assemblée nationale. « Nous avons proposé un grand groupe trait d’union entre le groupe socialiste et insoumis, avec les collègues écologistes, communistes, de Génération.s, ultramarins… Nous continuons à discuter avec toutes et tous », a expliquée l’élue.

11:04

Les « frondeurs » insoumis lancent un mouvement baptisé « L’Après » 

Clémentine Autain, Raquel Garrido, Alexis Corbière, Daniel Simonnet, Hendrik Davi et Olivier Malaude, les « frondeurs » de La France insoumise, ont tenu une conférence de presse pour lancer officiellement « L’Après », Association pour la République écologique et sociale, pensé comme « un incubateur pour un processus constituant d’une nouvelle force radicale, unitaire et démocratique ». François Ruffin, également « frondeur », n’en fait pas partie.

10:57

La nouvelle Assemblée nationale perturbe l’adoption du budget 2025

L’Assemblée nationale sortie des urnes dimanche dernier rend difficile l’émergence d’un gouvernement. Et avec elle l’adoption des d’un texte essentiel au bon fonctionnement de l’État : le projet de loi de finances (PLF), un exercice au long cours. Sauf que plusieurs experts s’inquiètent et que les agences de notation, les marchés financiers et la Commission européenne ont promis de l’examiner de près, voire de nous sanctionne le cas échéant. En l’absence de majorité, l’adoption de ce texte peut s’avérer très compliquée. Que se passerait-il si le Parlement ne parvenait pas à le voter ? Lire notre décryptage. 

10:26

Emmanuel Macron doit « se soumettre ou se démettre » déclare Antoine Léaument

« Il y a une solution qui est simple, qui est issue des urnes, qui est de nommer un Premier ministre ou une Première ministre issu du Nouveau Front populaire, c’est le résultat des élections », a déclaré sur Europe 1 Antoine Léaument, députée LFI de l’Essonne. Il existe toutefois « un point de blocage qui est Emmanuel Macron et d’une certaine manière il doit se soumettre ou se démettre », a-t-il ajouté. « Soit il accepte le résultat des urnes et nomme un Premier ministre issu du Nouveau Front Populaire, soit il doit partir », a insisté le député insoumis. 

10:12

« Cyniques ou irresponsables ? » Marine Le Pen tacle les candidats LR et Renaissance

« En regardant les débats depuis dimanche, on en oublierait presque qu’il y a une semaine, les candidats LR, Renaissance et leurs supplétifs se sont désistés pour faire élire des députés LFI, écologistes, communistes… », écrit la présidente du groupe RN à l’Assemblée nationale sur X, et de s’interroger : « Cyniques ou irresponsables ? Ou les deux ? »

10:05

Attal veut « protéger les Français de tout gouvernement » comportant des ministres RN ou LFI

Le Premier ministre s’est engagé à « protéger les Français de tout gouvernement » comportant des ministres du Rassemblement national ou de La France insoumise, dans sa profession de foi pour la présidence du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale. « Avec la dissolution et les élections législatives anticipées, nous avons frôlé la disparition », reconnaît-il également dans ce texte. « Je souhaite revoir intégralement nos méthodes et notre organisation, en tirant toutes les leçons acquises depuis 2017 et plus encore depuis 2022 », affirme-t-il. 

09:52

Attal officialise sa candidature à la présidence du groupe Renaissance à l’Assemblée

Dans un message aux députés Renaissance, le Premier ministre officialise sa candidature à la présidence du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale. « Je n’envisage cette mission que dans la collégialité la plus totale et, si vous me faites confiance, j’aurai besoin de chacune et chacun d’entre vous », écrit-il. « Comme je l’ai indiqué dès dimanche soir, j’assumerai mes fonctions de Premier ministre tant que le devoir l’exigera. Je pourrai siéger sur vos bancs dès lors que le Président de la République aura accepté ma démission et qu’avec mon Gouvernement, nous expédierons les affaires courantes », souligne encore le Premier ministre. 

09:29

Sébastien Chenu appelle à former un gouvernement « technique sans étiquette politique »

Sur RMC, le vice-président du Rassemblement national (RN) a accusé le président Emmanuel Macron « par son incompétence et son cynisme », d’avoir « réussi à bloquer le pays. Selon lui, « aucune solution n’est satisfaisante » pour s’en sortir, à part, « au mieux » à la nomination d’un « gouvernement technique sans étiquette politique ».  

09:15

Alliance des droites :  certains LR « n’ont pas suivi », déplore Tanguy, les qualifiant de « lâches »

Pour Jean-Philippe Tanguy, la défaite du RN au second tour des législatives tient notamment au fait que certains candidats de la coalition défendue par Jordan Bardella, notamment avec Eric Ciotti (LR), « n’ont pas suivi ». « Des députés LR ont réussi à se faire élire par miracle », souligne-t-il, déplorant « des appareils politiques corrompus et lâches ». « Quand vous êtes un responsable politique dans une situation d’urgence économique, migratoire, et que vous n’êtes pas capable de choisir entre Jodan Bardella et les communistes, c’est de la lâcheté ! », a-t-il encore taclé. 

09:06

Le RN censurera le gouvernement en cas de présence « des Insoumis ou des Ecologistes », confirme Tanguy

La nouvelle Assemblée nationale est « un bourbier », a estimé Jean-Philippe Tanguy, député RN, sur LCI. « Le gouvernement sortant et la gauche n’ont rien à proposer. Ils essayent de se mettre d’accord sur tout, sauf sur les solutions pour les Français », a-t-il fustigé. Comme Marine Le Pen hier, le député confirme que « la présence des Insoumis ou des Écologistes – qui sont des Insoumis repeints en vert – entraînera une motion de censure systématique », estimant leur présence « dangereuse ».

08:54

Bayrou potentiel Premier ministre ? « Il joue et continuera de jouer un rôle décisif », assure Barrot

François Bayrou pourrait-il être l’un des candidats à Matignon ? Le président du MoDem « a une relation particulière avec les Français depuis longtemps » et peut faire valoir une « expérience » importante, défend sur Sud Radio le ministre Jean-Noël Barrot. Sans dire explicitement qu’il apporte son soutien à une potentielle candidature du Haut-commissaire au Plan, il estime qu’il s’agit d’« une des personnalités qui vont nous permettre de dépasser la difficulté devant laquelle nous sommes ». « Il joue aujourd’hui et continuera de jouer dans le temps qui viennent un rôle décisif pour former une majorité et sortir de cette instabilité », pose encore le vice-président du parti centriste. 

08:50

La « seule majorité » possible court de la « gauche modéré à la droite modérée », estime Barrot

« La seule majorité arithmétiquement soutenable » s’étire « de la gauche modérée à la droite modérée », le « compromis » étant la seule option pour « s’épargner l’instabilité gouvernementale », défend sur Sud Radio Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de l’Europe et député des Yvelines. Il assure avoir constaté parmi LR et au sein de sa famille politique des « ouvertures » en ce sens. 

Quant au Nouveau Front populaire, il lui demande de « se tourner vers les autres », estimant qu’« il n’y a de soutien possible et durable pour un gouvernement qui appliquerait (son) programme ». Il exhorte en particulier les socialistes à « rentrer dans une quête de consensus ». Et du côté de son propre camp, « j’appelle les députés du bloc central à l’unité » et à jouer le rôle de « facilitateurs », complète le vice-président du MoDem. 

08:45

Emmanuel Macron, un « Gaulois réfractaire » pour Marine Tondelier

Emmanuel Macron « fait son Gaulois réfractaire », juge l’écologiste Marine Tondelier, en réaction à la lettre du chef de l’Etat, sur RMC-BFMTV. Elle aussi, comme Sandrine Rousseau la veille, souhaite que le 49.3 ne soit pas utilisé en cas de gouvernement de gauche. « On est des gens responsables. On arrive avec la ferme intention de gouverner (…) notre but n’est pas de mettre les gens en difficulté », conclut-elle.

08:42

Le Nouveau Front populaire « avance » sur le choix d’un Premier ministre, assure Marine Tondelier

« On avance » sur la proposition d’un Premier ministre à gauche mais « c’est normal que les choses prennent du temps », assure Marine Tondelier, secrétaire nationale EELV, sur RMC-BFMTV. Ce délai, « ce n’est pas parce qu’on n’y arrive pas, mais parce qu’on veut faire les choses bien », assure-t-elle. « Tout le monde doit donner des noms » parmi les formations du Nouveau Front populaire. Un groupe à l’Assemblée nationale entre EELV et les « frondeurs » LFI comme François Ruffin est possible, affirme par ailleurs Marine Tondelier sur RMC-BFMTV. 

08:36

« Ni LFI, ni RN » au sein du nouveau gouvernement, ou « nous déposerions une motion de censure », assure Aurore Bergé

« Si demain un gouvernement venait à être formé avec en son sein, ne serait-ce qu’un seul député ou même un seul secrétaire d’Etat de LFI, nous déposerions immédiatement une motion de censure », assure Aurore Bergé, ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes, sur franceinfo, rappelant sa position du « ni RN, ni LFI ». « La France insoumise a attisé l’antisémitisme, voire à légitimer cet antisémitisme et a fait campagne d’ailleurs aux élections européennes uniquement sur le seul sujet de Gaza », a justifié la députée réélue des Yvelines. 

Tout en ne niant pas le fait que le NFP a « plus de députés que les autres forces politiques » mais « en nombre de voix et en pourcentage des électeurs, ils ne sont pas arrivés en tête », souligne-t-elle. 

08:34

La candidature de Attal à la présidence du groupe Renaissance est « légitime » indique Bergé

« J’imagine que Gabriel Attal sera candidat, ce qui est évidemment légitime. Il est le chef de la majorité présidentielle », a déclaré Aurore Bergé, députée Renaissance des Yvelines sur franceinfo, saluant le fait que l’élection du président du groupe Renaissance se fasse par vote, « ce qui n’est pas le cas au sein de la France insoumise et du Rassemblement national ». 

08:31

Une coalition pour le camp présidentiel ? « Les choses sont en train de bouger », assure Aurore Bergé

« Aujourd’hui, il n’y a plus que deux blocs qui sont en capacité de permettre que ces coalitions existent (…) et avoir la majorité la moins relative possible », a affirmé Aurore Bergé, ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes et députée des Yvelines, sur franceinfo, écartant « le risque » du Rassemblement national. Soit le Nouveau Front populaire « arrive à faire la démonstration de son unité et nous dise enfin qui sera la personne à Matignon, et arrive aussi à s’élargir » pour avoir une majorité, soit il y a une « alternative » qui arrive à avoir « une majorité plus solide », selon la ministre. Cette alternative est celle du « bloc central, ce qui est aujourd’hui la majorité présidentielle, avec trois groupes mais qui peut aussi réussir à s’élargir » selon Aurore Bergé, saluant « les mains tendues » notamment à droite. « Les choses sont en train de bouger, rien n’est figé », a-t-elle insisté. 

08:22

Bellamy appelle à « refuser le en même temps »

« On ne s’en sortira pas avec des votes contre », pointe François-Xavier Bellamy, député européen LR, sur France Inter, cinq jours après le second tour des législatives. « On doit refuser le en même temps », car « notre but n’est pas de chercher la compromission, la coalition », juge-t-il, assurant que son parti censurerait un gouvernement de gauche ainsi qu’un gouvernement d’extrême droite. Pour lui, il faut reconstruire le « clivage droite/gauche ». En attendant, « une manière de s’en sortir serait d’identifier un Premier ministre au-dessus des partis politiques ».

08:20

Une réunion entre Macron et les cadres du camp présidentiel ce vendredi matin pas démentie par Darmanin

Invité sur RTL, Gérald Darmanin ne conteste pas une information de la radio selon laquelle il avait rendez-vous avec Emmanuel Macron, de retour du sommet de l’Otan à Washington, ce vendredi matin à 11h30 avec les autres cadres du camp présidentiel.

08:12

Le camp présidentiel « a besoin d’un examen de conscience » estime Karl Olive

Comment le camp présidentiel peut-il trouver sa majorité ? « Depuis deux ans on a cherché à trouver des accords qui ne sont pas venus à droite ou à gauche depuis qu’il y a eu cette dissolution, on s’aperçoit que les uns et les autres font pas des pas », a souligné le député Renaissance des Yvelines sur Europe 1/Cnews. Pas de coalition globale mais des accords texte pas texte ? « Pourquoi pas », a-t-il estimé, ajoutant que c’est peut-être « le choc des cultures » qu’attendent les Français. Reconnaissant que le camp présidentiel a pris « une branlée » aux législatives, Karl Olive estime que son parti a « besoin d’un examen de conscience avant de retrouver un examen de confiance auprès des Français. (…) Il faut absolument qu’on écoute les Français. Il nous a manqué du pragmatisme ».

08:10

Le Premier ministre « ne peut pas être un membre de la France insoumise » estime Karl Olive

Le prochain locataire de Matignon « ne peut pas être un membre de la France insoumise », a déclaré sur Europe 1/Cnews le député Renaissance des Yvelines, dénonçant le programme du parti insoumis. 

08:03

« 200 à 300 députés pour avoir une Assemblée nationale stable », estime Sylvain Maillard

« A Renaissance, il faut nous ouvrir à gauche et à droite, avec les socialistes et les Républicains, ceux qui veulent travailler dans l’arc républicain », pose le député Renaissance de Paris Sylvain Maillard. « Il nous faut 250/300 députés pour avoir une assemblée nationale stable, et ça va prendre du temps. Les gens sont effrayés que nous ne trouvions pas une majorité, ou pire encore, que LFI soit au pouvoir en France. »Sur la majorité obtenue par le groupe de la gauche aux législatives : «On peut vivre dans un monde parallèle mais les mathématiques vous rappellent à la réalité : ils n’ont même pas 200 députés, ça ne peut pas fonctionner, il faut être réaliste ». 

07:58

Gabriel Attal prendra la présidence du groupe Renaissance, selon Maillard

Il est « fort probable que Gabriel Attal soit le seul candidat » pour diriger le groupe des députés Renaissance à l’Assemblée, affirme Sylvain Maillard, président sortant de ce groupe et député Renaissance de Paris interrogé sur France 2 ce matin. Darmanin et Borne y ont renoncé « dans un choix d’unité », poursuit-il, précisant qu’Attal « sera choisi et désigné » par vote électronique demain. 
Quant à la présidence de l’Assemblée nationale, « Yaël Braun-Pivet est le meilleur choix pour nous tous, pour l’Assemblée nationale, estime Sylvain Maillard. Dans son travail, ce qu’elle fait, le travail avec la majorité, le respect des oppositions, il me semble normal de la reconduire. » 

07:52

« On a perdu » : Gérald Darmanin estime que le camp macroniste doit faire son « autocritique »

« Oui, il faudra qu’il y ait des changements à la tête du gouvernement », estime Gérald Darmanin, pour qui il est « tout à fait sain qu’un nouveau gouvernement soit nommé ». Il appelle aussi sur RTL le camp présidentiel à faire son « autocritique » : « personne n’a gagné » mais pour autant « on a perdu », signe que l’on « a fait des choses pas bien », affirme le député réélu dans le Nord, qui a décidé de quitter le gouvernement dès qu’un nouvel exécutif sera désigné.

« Il faut que chacun fasse son examen de conscience », appuie-t-il. Il exhorte aussi ses alliés à éviter toute « fuite en avant » et écarter « l’ambition individuelle » pour rester soudés, sans cibler une figure en particulier.  

07:50

Gérald Darmanin ouvre la porte à « travailler » avec le PS s’il « rompt fondamentalement » avec LFI

Invité sur RTL, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin dit vouloir « éviter le drame des extrêmes ». « Nous pourrions tout à fait travailler avec les leaders socialistes s’ils rompaient fondamentalement avec le programme délirant de la France insoumise » et ne pas laisser LFI « rentrer en responsabilité », insiste-t-il.

Il semble aussi écarter toute coalition avec les écologistes, ajoutant ne pas « être d’accord avec les Verts » sur tout un panel de sujets : « le respect qu’on doit aux forces de l’ordre, la laïcité, le nucléaire », égrène-t-il. 

07:46

Les « frondeurs » de LFI peuvent-ils intégrer le NFP ? Manuel Bompard ne l’exclut pas

Autain, Ruffin, Corbière, Simonnet… En rupture avec Jean-Luc Mélenchon, plusieurs députés issus des rangs de LFI ne siégeront pas avec le groupe Insoumis à l’Assemblée nationale et envisagent de créer un « nouveau » groupe politique. Ont-il leur place au sein du Nouveau Front populaire (NFP) ? « Toux ceux qui veulent appuyer le programme du Nouveau Front populaire et son gouvernement sont les bienvenus », a déclaré Manuel Bompard, coordinateur national de la France insoumise, sur TF1, sans en dire davantage. 

07:44

Le Premier ministre du NFP sera-t-il forcément insoumis ? « On est prêts à discuter », assure Bompard

Alors que les tractations se poursuivent au sein du NFP pour s’accorder sur une candidature pour Matignon, Manuel Bompard rappelle sur TF1 que la position de LFI « est que la plus grosse composante de la coalition puisse faire des propositions », comme cela aurait été décidé dès le début de la formation de l’alliance. Le coordinateur national du parti confirme, comme l’a révélé Le Monde, que LFI a proposé « des noms », sans préciser lesquels, et « sur ces noms-là, on est prêt à discuter ». L’autre règle édictée au début de la formation du NFP est que « personne ne doit s’imposer à personne, il y doit y avoir consensus », insiste Manuel Bompard.

07:42

« Rien ne coince, on avance », assure Bompard a propos des discussions pour Matignon au sein du NFP

Le Nouveau Front populaire a-t-il réussi à se mettre d’accord sur le nom d’un ou une candidat(e) à Matignon ? « Pas encore », a déclaré Manuel Bompard, coordinateur national de la France insoumise et député, sur TF1. Mais « la discussion avance positivement », a-t-il assuré, ajoutant que « rien ne coince, on discute, on avance », mais « je préfère ne pas fixer de deadline ». Avant jeudi prochain et l’élection du président de l’hémicycle ? « Je le souhaite », répond Manuel Bompard. 

07:33

Dans les matinales

Manuel Bompard, le coordinateur national de LFI et député, sera sur TF1 à 7 h 40. Au même moment, Sylvain Maillard, député Renaissance de Paris, sera sur France 2, ainsi que Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur et député du Nord sur RTL et Sébastien Chenu, député RN du Nord, sur RMC.À 8h10, Karl Olive, député Renaissance des Yvelines sera au micro d’Europe 1/Cnews. Dix minutes plus tard, François-Xavier Bellamy, député européen LR sera l’invité de France Inter et, au même moment, Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme sera sur LCI.À 8 h 30, Aurore Bergé ministre de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations et députée Renaissance des Yvelines, sera sur Franceinfo, tandis que Marine Tondelier, secrétaire nationale des Ecologistes sera l’invitée de BFMTV/RMC, et Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de l’Europe et député Modem des Yvelines, sur Sud Radio. 

07:25

Pour Dominique de Villepin, la gauche doit former un nouveau gouvernement

L’ancien Premier ministre de droite a estimé jeudi soir sur LCI que le Nouveau Front populaire (NFP), arrivé en tête lors des élections législatives, devait former un gouvernement. « On choisit la force arrivée en tête au soir du scrutin, c’est la tradition républicaine », a-t-il expliqué. « L’un des risques, si on continue dans la confusion actuelle, c’est que tout le monde se rende compte que personne n’a intérêt à diriger ce gouvernement et que le président se retrouve devant le chaos », a-t-il poursuivi. 

07:17

Comment est élu le président de l’Assemblée nationale ? 

Quatrième personnage de l’État, le ou la locataire du Perchoir a pour mission « d’assurer la conduite des débats dans de bonnes conditions au sein de l’hémicycle », et de « veiller au respect du règlement ». Discours du « doyen d’âge », vote, nombre de tours… Comment se déroule le scrutin ? Lire notre article. 

07:06

La course très disputée pour la présidence de l’Assemblée nationale

Jeudi 18 juillet,les députés devront élire le ou la présidente du Palais-Bourbon. Une élection scrutée de près pour observer les futures alliances politiques qui permettraient de trouver un Premier ministre. Yaël Braun-Pivet, l’ex-présidente de l’Assemblée, est candidate à sa succession et soutenue par Emmanuel Macron. Côté RN, c’est Sébastien Chenu, vice-président sortant, qui devrait être candidat au perchoir. Au sein du Nouveau Front populaire, si Sandrine Rousseau s’est déclaré candidate, c’est l’option Cyrielle Châtelain, ex-présidente du groupe des Écologistes, qui tient la corde. À gauche, certains imaginent aussi un plan B : le centriste Charles de Courson.

06:47

Qui pour présider le groupe Renaissance à l’Assemblée ? 

Trois figures majeures se livrent en coulisses à une bataille sans merci pour la présidence du groupe à l’Assemblée nationale : Gabriel Attal, Élisabeth Borne et Gérald Darmanin. Le groupe a annoncé que l’élection de son président aurait lieu samedi matin. 

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Publish date : 2024-07-12 04:48:00

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Author : Front Populaire

Publish date : 2024-07-12 14:36:00

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