Categories
News

le communiste André Chassaigne candidat du Nouveau Front populaire

Source link : https://front-populaire.biz/2024/07/17/le-communiste-andre-chassaigne-candidat-du-nouveau-front-populaire/

22:50

Ce live est terminé

Ce live est désormais terminé. Merci de nous avoir suivis.

19:38

La candidature d’André Chassaigne était la «plus à même de gagner» à gauche, admet Cyrielle Chatelain

Cyrielle Chatelain a estimé que la candidature d’André Chassaigne était la «plus à même de gagner» à gauche, après avoir retiré la sienne pour «ne pas faire durer une situation de blocage».

La cheffe des députés insoumis Mathilde Panot s’est «réjoui qu’une étape ait été franchie», estimant qu’il n’était «pas possible que Yaël Braun-Pivet redevienne présidente de cette Assemblée comme si rien ne s’était passé».

19:28

«André Chassaigne sera un excellent président, respecté de tous», assure Olivier Faure

Le socialiste Oliver Faure a réagi à la candidature d’André Chassaigne pour la présidence de l’Assemblée nationale. Il écrit sur X : «Ils étaient plusieurs à pouvoir prétendre à la fonction. L’envie constructive de faire ensemble l’a emporté. André Chassaigne sera un excellent président».

19:22

«André Chassaigne incarne mieux que quiconque les valeurs de la République», soutient Fabien Roussel

Fabien Roussel a salué la candidature d’André Chassaigne à la présidence de l’Assemblée nationale dans un post sur le réseau social X. «Le sérieux, la responsabilité, l’engagement», écrit-il.

19:11

«André Chassaigne est un grand député, d’expérience, profondément républicain», estime Boris Vollaud

«On a travaillé dans un état d’esprit constructif, respectueux, d’écoute», a assuré le socialiste Boris Vallaud devant la presse. «On a acquis la conviction que nous avions dans la personne d’André Chassaigne ce candidat qui pouvait avoir l’ensemble de nos visages, de nos cultures, et de nos qualités», a-t-il plaidé.

«Un grand député, d’expérience, profondément républicain, un élu enraciné, un homme qui peut rassembler largement», a-t-il écrit sur X.

18:51

«Il sera un excellent président de l’Assemblée nationale», déclare Arthur Delaporte

Dans un post sur le réseau social X, le député socialiste Arthur Delaporte salue la candidature d’André Chassaigne à la présidence de l’Assemblée nationale. «Il apaisera l’institution et défendra notre projet de justice sociale», écrit-il.

18:15

Le communiste André Chassaigne candidat du Nouveau Front populaire pour le perchoir de l’Assemblée nationale

 »
data-script= »https://static.lefigaro.fr/widget-video/short-ttl/video/index.js »
>

Le communiste André Chassaigne a été choisi mercredi comme candidat unique du Nouveau Front populaire pour briguer la présidence de l’Assemblée nationale, ont indiqué des sources parlementaires de la coalition de gauche à la veille du scrutin.

Après de longues tractations, le député du Puy-de-Dôme a bénéficié du désistement de la candidate écologiste Cyrielle Chatelain. Il affrontera notamment la présidente sortante macroniste Yaël Braun-Pivet et le centriste Charles de Courson, du groupe indépendant Liot.

Devant la presse avec les autres chefs de groupe de gauche, le parlementaire a insisté sur la «légitimité collective» du Nouveau Front populaire pour «présider l’Assemblée» et la volonté de la gauche de «répondre aux difficultés du quotidien».

18:11

Les Écologistes apportent leur soutien au communiste Chassaigne pour la présidence de l’Assemblée

Le député PCF André Chassaigne a reçu le soutien des Écologistes pour briguer la présidence de l’Assemblée nationale, selon la députée Cyrielle Chatelain.

17:41

Naïma Moutchou candidate au perchoir pour le groupe Horizons

L’ancienne vice-présidente de l’Assemblée Naïma Moutchou sera la candidate du groupe Horizons à la présidence de l’Assemblée jeudi, a annoncé mercredi le président du groupe.

La députée du Val-d’Oise a été désignée à l’unanimité des 30 membres du groupe.

Naïma Moutchou, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 8 juillet.
BERTRAND GUAY / AFP

17:29

35% des Français souhaitent voir Jordan Bardella à Matignon, selon un sondage

Selon un sondage Elabe pour BFMTV paru ce mercredi, 35% des Français souhaitent que Jordan Bardella soit le prochain premier ministre (stable par rapport à la semaine dernière), 34% (-4) Gabriel Attal, 27% (-4) Raphaël Glucksmann, 24% (-2) François Ruffin et 21% Olivier Faure (-3).

Laurence Tubiana, proposée par les socialistes, les communistes et les Écologistes comme première ministre du Nouveau Front populaire, mais refusée par LFI, obtient 14% de soutien.

Jordan Bardella, à Paris, le 8 juillet 2024.
Guglielmo Mangiapane / REUTERS

17:27

Deux tiers des Français critiques sur le retard du Nouveau Front populaire pour choisir un Premier ministre

66% des Français estiment que le retard des négociations du Nouveau Front populaire pour choisir un potentiel premier ministre n’est «pas normal», jugeant que c’est le signe que l’alliance de gauche ne va pas tenir dans la durée, selon un sondage Elabe pour BFMTV paru mercredi.

Seuls 32% trouvent «normal que cela prenne du temps» et considèrent que les partenaires de gauche vont trouver un terrain d’entente, alors que les formations politiques du Nouveau Front populaire se déchirent depuis 10 jours pour trouver un nom.

Les Français se divisent plus largement sur la perspective de ne pas avoir rapidement un nouveau gouvernement: 50% considèrent que si le prochain Premier ministre n’était pas nommé avant la rentrée (fin août/début septembre), «cela ne serait pas un problème et qu’il vaut mieux prendre le temps de trouver une coalition et un gouvernement stable».

17:00

ANALYSE – Alliances, «pacte législatif»… Face au risque d’un pays ingouvernable, la douloureuse conversion des politiques à la culture du compromis

Dans les esprits, compromis rime de moins en moins avec compromission. Sans majorité claire ni nouveau premier ministre à l’horizon, nombreux misent sur une conversion express à la culture du dialogue, et même des négociations.

Une logique inspirée du modèle allemand qui permettrait selon certains de sortir de l’impasse d’un pays ingouvernable. « L’idée même de majorité, ne serait-ce que relative, a valsé. Et avec elle, l’absence de tout compromis », tranche Antoine Armand, député macroniste. Fragilisé par le risque d’effacement de son propre camp, Emmanuel Macron a d’ailleurs pressé les siens de bâtir au plus vite une « coalition républicaine » avec les autres forces politiques.

Mais l’équation n’est pas si simple pour l’échiquier français, peu habitué à faire un pas vers l’autre. « Politiquement, les partis sont mal armés pour accepter cette nouvelle approche. Ils n’étaient pas préparés à une forme de parlementarisation de la vie politique avec un affaiblissement du président », analyse le politologue Thierry Chopin.

16:20

«Ne nous trahissez pas» : une pétition appelle les députés du NFP à «voter» pour désigner un premier ministre

Une pétition lancée ce mercredi exhorte les «députés du Nouveau Front populaire» à voter «bulletin secret» pour désigner un premier ministre.

«Vous avez là l’opportunité de donner à voir un processus démocratique, capable d’enrayer la dynamique actuelle et de nous rappeler pourquoi nous avons tant cru en vous et que nous avions raison de le faire», écrivent les auteurs du texte, alors que le bras de fer entre le PS et les Insoumis s’enlise.

«Depuis le 8 juillet, nous attendons avec impatience la feuille de match du Nouveau Front Populaire. Plus précisément nous attendons le nom du ou de la capitaine d’équipe. Nous savons que la tâche peut être ardue mais plus les heures passent, plus l’impatience se fait sentir dans nos rangs», poursuivent-ils. Et de conclure : «Ne nous trahissez pas, votez !»

A cette heure-ci, la pétition a déjà récolté près de 26.000 signatures.

15:43

Sébastien Chenu, candidat du Rassemblement national au perchoir

Le député RN Sébastien Chenu est candidat à la présidence de l’Assemblée nationale, au moins «au premier tour», a indiqué son groupe mercredi, alors qu’il n’a quasiment aucune chance d’obtenir le poste.

Après le premier tour, organisé à partir de 15 heures jeudi dans l’hémicycle, «on verra» si Sébastien Chenu se maintient, a indiqué le secrétaire général du groupe Renaud Labaye.

Le député du Nord et ancien vice-président de l’Assemblée rejoint la liste des candidats déclarés : la présidente sortante macroniste Yaël Braun-Pivet, le centriste Charles de Courson du groupe indépendant Liot ou la députée de droite Annie Genevard. À gauche, le Nouveau Front populaire a aussi promis un candidat unique, pas encore choisi à ce stade.

Le député RN Sébastien Chenu est candidat à la présidence de l’Assemblée nationale.
Sarah Meyssonnier / REUTERS

13:52

«La place de Sandrine Rousseau est à LFI», s’emporte l’ex-ministre de l’écologie Corinne Lepage

L’ancienne ministre de l’Environnement (1995-1997) et ancienne eurodéputée (2009-2014) Corinne Lepage a déclaré sur X que «la place» de Sandrine Rousseau, députée écologiste, était «à LFI». «RAS le bol qu’elle fasse détester l’écologie dont elle se moque comme d’une guigne», s’est emportée l’avocate, ex-femme politique.

13:11

Candidat RN sous curatelle: un recours déposé pour annuler le scrutin législatif

La candidate NFP dans la 2e circonscription du Jura a déposé un recours devant le Conseil constitutionnel pour faire annuler le scrutin législatif qui avait vu la qualification au second tour d’un candidat RN sous curatelle, donc théoriquement inéligible.

«Le recours a été déposé ce matin (…) avec l’accord des forces politiques» du NFP, a indiqué mercredi à l’AFP Évelyne Ternant, confirmant une information du quotidien régional Le Progrès. «Je voulais que ce ne soit pas une démarche individuelle mais politique, de combat contre le Rassemblement national», a insisté la candidate communiste, «obligée de (se) retirer» au second tour «parce qu’un candidat inéligible s’est maintenu».

Arrivée troisième au soir du premier tour le 30 juin avec 24,75% des voix, Mme Ternant était en effet qualifiée pour le second, derrière le RN Thierry Mosca (32,76%) et la députée LR sortante Marie-Christine Dalloz (38,59%). Mais elle s’était désistée pour faire barrage au RN. C’est finalement Mme Dalloz qui a conservé son siège de députée. Elle a depuis annoncé rejoindre la Droite républicaine.

La candidature de M. Mosca, 65 ans, avait été régulièrement enregistrée par la préfecture mais il s’est avéré peu de temps avant le scrutin qu’il avait été placé sous curatelle de l’Union départementale des associations familiales (Udaf) du Jura en novembre 2023. Une mesure de placement sous curatelle est décidée lorsqu’il existe une altération des facultés mentales d’une personne, l’empêchant de pourvoir seule à ses intérêts.

12:53

Qui sont les candidats à la présidence de l’Assemblée nationale ?

Après la démission du gouvernement, les regards se tournent mercredi vers le perchoir : les groupes politiques affinent leur stratégie pour obtenir la présidence de l’Assemblée nationale jeudi. Un enjeu majeur notamment pour la gauche qui tente de relancer d’urgence ses négociations pour Matignon.

La sortante Yaël Braun-Pivet, l’indépendant centriste Charles de Courson, Annie Genevard pour Les Républicains… Les candidats ne sont pas encore légion, à un peu plus de 24 heures d’une élection incertaine prévue jeudi à partir de 15h00.

Séance d’ouverture de la nouvelle législature à l’assemblée nationale avec l’élection de la nouvelle presidente, le 28 juin 2022.
François Bouchon / Le Figaro

Arrivé en tête des législatives anticipées, le Nouveau Front populaire s’est accordé sur le principe d’une candidature commune, mais il n’a pas encore arrêté son choix. Cinq noms ont été mis sur la table mardi, ceux des quatre présidents de groupe Boris Vallaud (PS), Cyrielle Chatelain (Ecologiste), André Chassaigne (PCF), et Mathilde Panot (LFI) ainsi que celui d’Eric Coquerel (LFI), ancien président de la commission des Finances.

10:09

«Tout est mieux qu’un gouvernement du Nouveau Front populaire», estime Marine Le Pen

Arrivée en tête des élections législatives, la gauche unie continue de prétendre à Matignon, sans toutefois parvenir à s’accorder sur un nom de premier ministre. Des ambitions gouvernementales raillées par Marine Le Pen ce mercredi matin. «Je crois que tout est mieux qu’un gouvernement du Nouveau Front populaire, qui n’est pas majoritaire», a cinglé la députée RN du Pas-de-Calais sur BFMTV/RMC.

«J’essaie de penser idées politiques et projets politiques, pas seulement personnes. Ça, ce sont leurs magouilles, c’est leur posture. Je trouve que ça contribue à affaiblir encore plus, si c’est possible, le lien qui existe entre les Français et leurs dirigeants», a-t-elle dénoncé alors que les tractations pour désigner le futur chef du gouvernement ont été suspendues à gauche, faute de consensus. «Moi ce qui m’importe, c’est que (…) l’immigration continue à aggraver la situation du pays, elle continue à être hors contrôle, l’insécurité continue à exploser, les problèmes de pouvoir d’achat continuent à pourrir l’existence de nos compatriotes», a énuméré la triple candidate à l’élection présidentielle. Avant de s’en désoler : «Aucune réponse n’est apportée à cela.»

Peu importe la couleur de la prochaine équipe gouvernementale, Marine Le Pen assure que le Rassemblement fera ce qu’il a «toujours fait». «Chaque texte qui nous sera proposé, nous l’analyserons. S’il est bon pour les Français, nous le voterons. S’il est mauvais pour les Français, nous nous y opposerons», a-t-elle acté.

Marine Le Pen, députée RN du Pas-de-Calais.
Guglielmo Mangiapane / REUTERS

10:02

Bertille Bayart : qui veut encore faire de la politique ?

Huguette Bello, Laurence Tubiana… Au Nouveau Front populaire, les hypothèses se suivent mais ne rassemblent pas ! Un gouvernement technique ? Qui se lancerait dans une telle aventure ? Le bail serait court. Il n’y aurait que des coups à prendre.

La macronie, une fois passé l’élan de 2017, a aussi connu cette crise des vocations. Chaque remaniement au cours des sept dernières années a été plus étriqué et plus laborieux que le précédent. Il n’y avait plus de profondeur du banc de touche. La politique et le service de l’État attirent-ils encore ? Retrouvez l’analyse complète de Bertille Bayart ci-dessous.

09:28

«La technocratie va prendre le pouvoir», prédit Marine Le Pen

Si Emmanuel Macron a accepté mardi soir la démission de Gabriel Attal, lui et son gouvernement resteront en poste pour assurer la gestion des «affaires courantes». En parallèle, la nomination du futur premier ministre reste suspendue aux interminables tractations du Nouveau Front populaire et aux tentatives de coalitions du camp présidentiel. Une situation en apparence inextricable qui ouvre la perspective d’un gouvernement technique, d’après Marine Le Pen, qui a dénoncé mercredi «un bourbier prévisible» devant les difficultés à former une coalition.

«Pour l’instant, le pays n’est pas gouverné», a estimé la députée RN du Pas-de-Calais. «Il va falloir de toute façon en sortir. Le problème, c’est que je vois bien arriver le gouvernement technique, tel que l’Italie l’a vécu», a-t-elle prédit ce mercredi matin sur BFMTV/RMC. Et d’arguer : «Ce n’est absolument pas une bonne solution».

«Emmanuel Macron a quand même fait la dissolution de l’Assemblée nationale soi-disant pour rendre le pouvoir au peuple. Et en réalité, c’est la technocratie qui va prendre le pouvoir, en sachant pertinemment que la technocratie va œuvrer contre les intérêts du peuple», a dénoncé la triple candidate à l’élection présidentielle. Marine Le Pen estime qu’un gouvernement technique, constitué de hauts fonctionnaires et d’experts, serait simplement un nouveau «gouvernement Macron». «Ça fait à peu près sept ans qu’on a ça déjà», a-t-elle raillé.

Marine Le Pen, députée RN du Pas-de-Calais.
Yara Nardi / REUTERS

09:11

Guillaume Tabard: après les législatives, l’urgence et le long terme

Dans un mois, dans un an. La difficulté de ce début de 17e législature réside dans le fait que ses acteurs doivent à la fois aboutir en urgence et réfléchir à moyen terme. Dans l’immédiat, trouver le périmètre interne à l’Assemblée nationale permettant la désignation d’un nouveau gouvernement.

Mais dans la perspective des prochaines élections nationales – des législatives à partir de l’été 2025, une présidentielle au plus tard au printemps 2027 -, reconstruire un nouveau paysage politique. Retrouvez l’analyse complète de Guillaume Tabard ci-dessous.

08:56

Ministres à l’Assemblée nationale : Marine Le Pen dénonce «une violation de l’esprit de la Constitution»

«Ça s’appelle, quoi qu’on en dise, une violation de l’esprit de la Constitution», s’est indignée Marine Le Pen ce mercredi matin sur BFMTV/RMC. Alors que 17 ministres démissionnaires, élus députés le 7 juillet dernier, s’apprêtent à faire leur entrée dans l’hémicycle et à prendre part au vote pour la présidence de l’Assemblée nationale jeudi, la triple candidate à l’élection présidentielle dénonce «une confusion des pouvoirs». «Il y a quelque chose d’éminemment gênant à voir des ministres courir les couloirs de l’Assemblée pour voter pour eux», a-t-elle jugé. Avant de brandir l’article 23 de la Constitution, qui affirme que «les fonctions de membre du gouvernement sont incompatibles avec l’exercice de tout mandat parlementaire». «La séparation des pouvoirs est un des principes de base de notre démocratie», s’est alarmée l’ancienne présidente du Rassemblement national.

Marine Le Pen, députée RN du Pas-de-Calais.
Yara Nardi / REUTERS

08:29

«Excusez-nous du spectacle qu’on donne» : Sandrine Rousseau s’excuse du manque de consensus au NFP et appelle au vote

«On a suscité un espoir, les gens se sont mobilisés pour nous. Les gens étaient là du matin au soir, à nous aider pendant les campagnes», a reconnu la députée écologiste Sandrine Rousseau sur TF1, présentant ses «excuses» aux électeurs du Nouveau Front populaire.

Et de poursuivre : «Il faut qu’on sorte des conclaves et qu’on fasse confiance aux députés qui ont été élus sous l’étiquette du NFP», appelant au vote des députés pour proposer un nom pour Matignon, alors que la gauche se déchire sur le nom du futur premier ministre.

08:11

«Il n’y a plus de table des négociations» au NFP, affirme Marine Tondelier

Où en sont les négociations à gauche pour désigner un candidat commun à Matignon ? Nulle part, selon Marine Tondelier. «Là il n’y a plus de table des négociations» depuis au moins lundi, a lancé la patronne des écologistes. «Je suis en colère, écœurée, je suis fatiguée, j’en ai marre, je suis désolée du spectacle qu’on donne aux Français et aux Françaises.»

À demi-mot, Marine Tondelier a renvoyé la responsabilité de cet échec aux Insoumis et aux Socialistes qui ne seraient pas parvenus à s’accorder. «Avec les communistes, on n’a mis d’exclusif sur aucun nom, a-t-elle martelé. Un insoumis ça nous va. Un socialiste ça nous va. Un écologiste ça nous va. Un communiste ça nous va. La société civile ça nous va. Tout nous va. On n’est bloquant sur rien. On n’a jamais quitté la table des négociations.»

 »
data-script= »https://static.lefigaro.fr/widget-video/short-ttl/video/index.js »
>

L’écologiste n’a pas caché son exaspération devant l’incapacité de la gauche à s’accorder. «On dit “gnagnagna Huguette Bello”. “Gnagnagna Laurence Tubiana”. Mais on va se retrouver avec Laurent Wauquiez en fait.»

La même question de la candidature unique se pose pour le perchoir à l’Assemblée nationale. Le vote doit avoir lieu jeudi pour désigner le futur président au palais Bourbon. «Le principe de la candidature unique est acté» à gauche, a souligné Marine Tondelier. «La candidature n’est pas actée. Nous, on présente Cyrielle Chatelain avec les écologistes.»

08:09

«J’ai choisi de siéger en non-inscrit», annonce Sacha Houlié

Une semaine après avoir annoncé son départ du groupe Renaissance, renommé Ensemble pour la République, Sacha Houlié a décidé de «siéger en non-inscrit» à l’Assemblée nationale. Figure de l’aile gauche de la macronie, le député de la Vienne entend désormais défendre son courant politique, «la social-démocratie, le centre gauche», en solitaire. «Pour l’instant je suis seul, a-t-il admis ce mercredi matin sur France Inter. Nous étions une quinzaine de députés de l’ex-groupe Renaissance, nous étions avec des députés divers gauche qui siégeaient en non inscrits ou qui siégeront au groupe Liot, je sais aussi que des socialistes sont intéressés», veut encore croire l’ancien président de la Commission des Lois, qui ne désespère pas d’entraîner d’autres personnalités politiques dans son sillon.

 »
data-script= »https://static.lefigaro.fr/widget-video/short-ttl/video/index.js »
>

07:44

À l’Assemblée, la macronie et LR en discussion pour s’assurer le perchoir

Jeudi, l’Assemblée nationale désignera son nouveau président. La sortante Yaël Braun-Pivet ne fait pas l’unanimité dans le camp présidentiel. Mais les macronistes s’agitent en coulisses pour tenter de conserver le perchoir.

L’Assemblée nationale.
jjfoto / stock.adobe.com

Une équation compliquée, alors que le groupe Ensemble pour la République (EPR), désormais présidé par Gabriel Attal, peine à s’entendre avec ses alliés du MoDem et d’Horizons. Retrouvez ci-dessous l’article complet du Figaro.

07:24

Le cabinet de Bruno Le Maire dément la rumeur selon laquelle le ministre quitterait la France pour la Suisse après Bercy

Bruno Le Maire ne «quittera pas la France pour travailler ailleurs». Dans sa dernière édition, Le Canard enchaîné affirmait que le ministre de l’Économie avait trouvé «du boulot» à l’École polytechnique de Lausanne. Le cabinet du ministre de l’Économie a fermement démenti.

Bruno le Maire et Emmanuel Macron au défilé militaire du 14 juillet sur l’avenue Foch, à Paris, le 14 juillet 2024.
LUDOVIC MARIN / REUTERS

«Ce qui est écrit dans le Canard est faux : le ministre ne quittera pas la France, les mots ont leur importance», a poursuivi son cabinet, faisant valoir qu’il y avait «une différence» entre «aller travailler» à l’étranger et «quitter le pays». «Peut-être, d’ailleurs, qu’il n’ira pas travailler ailleurs et qu’il travaillera en France.»

07:13

Attal va proposer «des rencontres» aux autres groupes politiques pour «un pacte d’action»

Gabriel Attal, premier ministre démissionnaire et chef de file des députés macronistes, a affirmé mardi qu’il proposerait «des rencontres» aux autres groupes politiques pour «avancer vers (un) pacte d’action» en vue de la formation d’un nouveau gouvernement.

Gabriel Attal à l’Elysée, le 16 juillet 2024.
Stephanie Lecocq / REUTERS

Mais il a assuré qu’il ne «serait pas» le prochain premier ministre. «Les discussions démarrent» et «je proposerai, avec les députés Ensemble pour la République, des rencontres aux autres groupes politiques (…) à l’exception des extrêmes, pour avancer vers ce pacte d’action pour les Français», a précisé Gabriel Attal, élu samedi président du groupe macroniste à l’Assemblée nationale.

07:04

Divisée sur son candidat à Matignon, la gauche s’enlise dans les négociations

Il fallait faire vite. Mais dix jours après être arrivé en tête des législatives, le NFP ne parvient pas à s’accorder sur un premier ministre. Socialistes et Insoumis empêchent le consensus en revendiquant tous deux Matignon. Huguette Bello, Laurence Tubiana… Les derniers noms proposés n’ont pas suscité de consensus.

Le NFP pose pour une photo de famille après une conférence de presse à Paris, le 14 juin 2024.
JULIEN DE ROSA / AFP

Au soir du cinquième jour de négociation, toujours pas de fumée blanche. Au risque de faire douter sur la solidité de leur union… Retrouvez l’article complet ci-dessous.

07:03

Quels sont les pouvoirs d’un gouvernement «démissionnaire», chargé des «affaires courantes» ?

La Constitution est assez floue, pour ne pas dire mutique sur le sujet. Pour le dire brièvement, un gouvernement démissionnaire doit s’assurer du bon fonctionnement des institutions, mais n’a plus de prérogatives politiques. Concrètement, il ne peut plus déposer de projet de loi ni engager aucune mesure ayant un impact financier. En revanche, il peut par exemple prendre des décrets de nomination ou des arrêtés visant à interdire une manifestation.

Gabriel Attal regarde à l’arène Paris la Défense à Nanterre, avant les Jeux Olympiques de Paris 2024, le 15 juillet 2024.
BERTRAND GUAY / REUTERS

Combien un gouvernement peut-il se contenter des affaires courantes ? En théorie, le chef de l’État n’est contraint par aucun délai. Mais Emmanuel Macron devrait vraisemblablement nommer le prochain résident de Matignon dans les prochaines semaines.

07:03

Bonjour à tous

Bienvenue dans ce direct. Dix jours après les législatives, on ignore toujours le nom du successeur de Gabriel Attal à Matignon. Hier soir, Emmanuel Macron a finalement accepté la démission de son premier ministre… dont le gouvernement reste toutefois chargé des affaires courantes le temps d’être remplacé.

Le Nouveau Front Populaire (NFP) ne parvient pas à se mettre d’accord pour proposer un nom pour Matignon.
Sarah Meyssonnier / REUTERS

Arrivé en tête des élections, sans toutefois obtenir de majorité, le Nouveau Front populaire (NFP) a toutes les peines du monde à tomber d’accord sur le nom d’un candidat commun pour Matignon. Un temps envisagée, la spécialiste du climat Laurence Tubiana a été jugée trop «Macron-compatible» par les Insoumis. Suivez heure par heure dans ce direct l’évolution des tractations ainsi que les analyses de nos journalistes.

Les publications apparaîtront ici

Fermer

Source link : https://www.lefigaro.fr/elections/legislatives/en-direct-on-travaille-gabriel-attal-souhaite-conclure-un-pacte-d-action-avec-les-groupes-politiques-20240717

Author :

Publish date : 2024-07-17 05:14:00

Copyright for syndicated content belongs to the linked Source.

—-

Author : Front Populaire

Publish date : 2024-07-17 20:53:17

Copyright for syndicated content belongs to the linked Source.

Exit mobile version

................................*...........................................++++++++++++++++++++--------------------.....